Préambule
Le service d’accueil de jour de la clinique de la Gaillardière à Vierzon, est une structure d’hospitalisation à temps partiel de jour, qui propose une prise en charge thérapeutique pluridisciplinaire.
Il est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 16h30, sauf les jours fériés.
Le Docteur BENFARDJALLAH est le médecin coordonnateur du centre d’accueil de jour. Il est le garant du Projet médical et de la qualité de la prise en charge.
Madame LAVRAT Clémence, Directrice, assure le bon fonctionnement de l’unité dans le respect des règles professionnelles et déontologiques en vigueur, et supervise l’organisation de l’équipe soignante.
Cette équipe est composée d’infirmières, d’une psychologue, de 2 art-thérapeutes, d’un éducateur sportif.
L’organisation de la prise en charge
La demande d’admission est transmise à l’établissement par le médecin traitant du patient ou son psychiatre.
Elle est soumise au médecin psychiatre coordonnateur du service d’accueil de jour pour accord.
Le suivi de la prise en charge
Il est sous la responsabilité du médecin coordonnateur et repose sur un projet thérapeutique individualisé. Des évaluations régulières sont prévues au cours de la prise en charge.
La fin de la prise en charge
Après évaluation du projet thérapeutique mis en œuvre, le médecin coordonnateur prescrit la sortie du patient. Il informe par un compte-rendu de fin de prise en charge le médecin qui a adressé le patient au service d’accueil de jour.
Circulaire DHOS/E1/DGS/SD1B/SD1C/SD4A no 2006-90 du 2 mars 2006 relative aux droits des personnes hospitalisées et comportant une charte de la personne hospitalisée :
1. Toute personne est libre de choisir l’établissement de santé qui la prendra en charge, dans la limite des possibilités de chaque établissement. Le service public hospitalier est accessible à tous, en particulier aux personnes démunies et, en cas d’urgence, aux personnes sans couverture sociale. Il est adapté aux personnes handicapées.
2. Les établissements de santé garantissent la qualité de l’accueil, des traitements et des soins. Ils sont attentifs au soulagement de la douleur et mettent tout en oeuvre pour assurer à chacun une vie digne, avec une attention particulière à la fin de vie.
3. L’information donnée au patient doit être accessible et loyale. La personne hospitalisée participe aux choix thérapeutiques qui la concernent. Elle peut se faire assister par une personne de confiance qu’elle choisit librement.
4. Un acte médical ne peut être pratiqué qu’avec le consentement libre et éclairé du patient. Celui-ci a le droit de refuser tout traitement. Toute personne majeure peut exprimer ses souhaits quant à sa fin de vie dans des directives anticipées.
5. Un consentement spécifique est prévu, notamment, pour les personnes participant à une recherche biomédicale, pour le don et l’utilisation des éléments et produits du corps humain et pour les actes de dépistage.
6. Une personne à qui il est proposé de participer à une recherche biomédicale est informée, notamment, sur les bénéfices attendus et les risques prévisibles. Son accord est donné par écrit. Son refus n’aura pas de conséquence sur la qualité des soins qu’elle recevra.
7. La personne hospitalisée peut, sauf exceptions prévues par la loi, quitter à tout moment l’établissement après avoir été informée des risques éventuels auxquels elle s’expose.
8. La personne hospitalisée est traitée avec égards. Ses croyances sont respectées. Son intimité est préservée ainsi que sa tranquillité.
9. Le respect de la vie privée est garanti à toute personne ainsi que la confidentialité des informations personnelles, administratives, médicales et sociales qui la concernent.
10. La personne hospitalisée (ou ses représentants légaux) bénéficie d’un accès direct aux informations de santé la concernant. Sous certaines conditions, ses ayants droit en cas de décès bénéficient de ce même droit.
11. La personne hospitalisée peut exprimer des observations sur les soins et sur l’accueil qu’elle a reçus. Dans chaque établissement, une commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge veille, notamment, au respect des droits des usagers. Toute personne dispose du droit d’être entendue par un responsable de l’établissement pour exprimer ses griefs et de demander réparation des préjudices qu’elle estimerait avoir subis, dans le cadre d’une procédure de règlement amiable des litiges et/ou devant les tribunaux.
Le document intégral de la charte de la personne hospitalisée est accessible sur le site Internet : www.sante.gouv.fr. Il peut être également obtenu gratuitement, sans délai, sur simple demande, auprès du personnel infirmier.